Player FM - Internet Radio Done Right
Checked 13h ago
הוסף לפני forty-six שבועות
Content provided by Radio Lac. All podcast content including episodes, graphics, and podcast descriptions are uploaded and provided directly by Radio Lac or their podcast platform partner. If you believe someone is using your copyrighted work without your permission, you can follow the process outlined here https://player.fm/legal.
Player FM - Podcast App
Go offline with the Player FM app!
Go offline with the Player FM app!
6 minutes avec Jérôme Gygax, historien, spécialiste USA
Manage episode 448755345 series 3554963
Content provided by Radio Lac. All podcast content including episodes, graphics, and podcast descriptions are uploaded and provided directly by Radio Lac or their podcast platform partner. If you believe someone is using your copyrighted work without your permission, you can follow the process outlined here https://player.fm/legal.
…
continue reading
556 episodes
Manage episode 448755345 series 3554963
Content provided by Radio Lac. All podcast content including episodes, graphics, and podcast descriptions are uploaded and provided directly by Radio Lac or their podcast platform partner. If you believe someone is using your copyrighted work without your permission, you can follow the process outlined here https://player.fm/legal.
…
continue reading
556 episodes
Tous les épisodes
×1 6 minutes avec Arnaud Bürgin, nouveau directeur général adjoint de la FER Genève 5:47
5:47
Play Later
Play Later
Lists
Like
Liked
5:47La FER Genève a un nouveau directeur général adjoint. Arnaud Bürgin a pris ses fonctions, au 1er janvier. Il vient compenser le départ surprise du directeur général, Philippe Fleury, moins de deux ans après son arrivée. Arnaud Bürgin était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac. Vous êtes le nouveau directeur général adjoint de la FER Genève, après le départ abrupt du directeur général, Philippe Fleury. Comment ça va à la FER Genève ? "Je suis arrivé depuis 15 jours. J'ai l'impression que ça se passe bien, au niveau des collaborateurs. Je croise passablement de gens dans les couloirs, tout le monde a le sourire, certaines personnes me disent "bienvenue à la maison", puisque j'ai déjà travaillé 9 ans à la Fédération des entreprises romandes". Justement, vous étiez à la FER Genève dès 2013, vous êtes ce qu'on appelle un homme du sérail, contrairement à Philippe Fleury qui venait du monde plus privé? "Je pense qu'il n'y a pas d'opposition. On est dans une phase transitoire qui risque de durer 12 mois, avec une délégation, c'est une bonne transition, mais c'est une transition qui est nécessaire, 12 mois pour se donner le temps de recruter un nouveau directeur général. Je pense qu'il faut absolument soutenir nos tissus économiques, maintenir son dynamisme et on va avoir passablement de défis dans les prochaines années. Les entreprises genevoises ont une résilience assez extraordinaire, puisqu'on enchaîne un peu les crises depuis 2008: crise des subprimes, ensuite 2014-2015 le franc fort, crise sanitaire en 2020, tension géopolitique à partir de 2022. En 2022 on leur annonce une crise énergétique, on leur dit qu'on n'est pas sûr qu'elles pourront maintenir une activité durant l'hiver et finalement les entreprises sont toujours présentes et on a une augmentation de nouvelles entreprises, donc ça prouve qu'il y a un réel dynamisme à Genève au niveau du tissu économique, mais il faut maintenir ce dynamisme". 10 ans de la fin du taux plancher. Cela n’a finalement pas tant impacté nos entreprises… "Ce n'est pas un cataclysme, mais c'est une réelle difficulté, quand d'un jour à l'autre finalement, vous vendez vos biens 20% plus cher sur un marché européen ou un marché mondial, ça a forcément un impact sur votre entreprise, ça veut dire que ces 20% de moins que vous avez finalement, ils vont être coupés sur des investissements ou sur la création de nouveaux emplois, donc c'est un réel impact. Ce n'est pas parce que tout va bien que finalement on doit attendre le jour où tout va mal pour se dire "ah c'était mieux avant", on doit travailler dès aujourd'hui pour maintenir une prévisibilité, une stabilité pour nos entreprises. Nos entreprises, qu'elles continuent de créer des emplois, c'est vraiment ce qui fait finalement ce pacte social qu'on a en Suisse, qu'on a à Genève et qu'il faut absolument maintenir". Avec IA…
1 6 minutes avec Alessandro Cassini, médecin cantonal genevois 6:08
6:08
Play Later
Play Later
Lists
Like
Liked
6:08Le nouveau médecin cantonal genevois, Alessandro Cassini, est en place depuis le 1er octobre. Il dressait un bilan de son action après 100 jours, avec Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac. Vous êtes médecin cantonal depuis le 1er octobre. Comment se sont passés, ces plus de 100 jours? “Je dirais que j'ai eu le temps de prendre un petit peu les mesures, comprendre aussi comment marchent les choses. J'ai trouvé des équipes très compétentes, extrêmement passionnées. Ce sont des xperts, ils sont autonomes. J'essaye aussi de comprendre comment marche le terrain, les autres acteurs de la santé, qu'ils soient des hôpitaux ou qu'ils soient des associations, il y a un domaine associatif à Genève qui est extrêmement développé, positif, avec lequel on travaille tous les jours” Quelle est la situation de l’épidémie de grippe? “On n'a pas encore atteint le pic, ça continue à circuler de façon très très forte. La grippe entraîne un petit peu de tension, surtout aux HUG. On a essayé de mieux évaluer la situation aussi la semaine dernière, quand les HUG ont dû déprogrammer certaines opérations et créer des lits en plus, nous avons remis en place un système de monitorage de nombre de lits qu'il y a sur le canton pour s'assurer que si la situation ne devienne pas encore plus tendue. On aurait eu des possibilités aussi dans d'autres cliniques et dans d'autres hôpitaux, si besoin. Aux HUG, on en est à plus de 80 hospitalisations par semaine”. Avant le Covid aussi, il y avait toujours ces vagues épidémiques très importantes mais on en parlait un petit peu moins. Le Covid nous a permis un petit peu de refocaliser sur certaines vagues épidémiques, mais aussi peut-être des fois un petit peu trop d'attention sur des situations qui sont assez normales chaque hiver, et c'est pour ça qu'il faut rappeler les bons gestes. Par exemple quand on est malade, se rappeler de mettre le masque, se rappeler aussi de se vacciner, c'est très important, surtout pour les populations pour lesquelles la vaccination est recommandée”. Une pandémie, comme celle du Covid, pourait-elle se reproduire? “Bien sûr, je dirais même que c'est presque certain que ça se reproduise. Ca ne sera pas avec peut-être la même quantité ou le même impact. On est en train de suivre différents types de virus qui ont ce potentiel. On se prépare au niveau international avec les nouvelles règles internationales pour faire face à des épidémies. Au niveau national, un plan pandémie national doit être bientôt publié. Il y a une adaptation genevoise à ce plan pandémie pour être certain qu'on connaisse bien les acteurs du terrain, qu'on se coordonne et qu'on puisse faire face de façon très efficace à la nouvelle épidémie qui arrivera, on ne sait pas encore quand et dans combien d'années”.…
1 6 minutes avec Philippe Oberson, candidat “Le peuple d’abord” au Conseil administratif de la Ville de Genève 6:14
6:14
Play Later
Play Later
Lists
Like
Liked
6:14Achever le U-lacustre ; soutien au Parc Masset ou encore un service avec un guichet public pour les futurs retraité. Voilà quelques uns des thèmes de campagne défendus par Philippe Oberson, candidat "Le peuple d'abord" au Conseil administratif de la Ville de Genève. Il était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac. Des habitants de Genève ne vous connaissent peut-être pas. Comment vous définiriez-vous comme candidat? "Je suis un candidat atypique, je n'ai pas de couleur politique, je suis uniquement là pour l'intérêt de la population, en dehors les bisbilles entre parties, ni gauche ni droite, droit devant, pour tous". Vous avez été un ardent opposant à la passerelle du Mont-Blanc, par contre vous vous positionnez pour l’achat du domaine Masset ou villa de Zep, qui va tout de même coûter 21,5 millions de francs…Ce n'est pas un peu contradictoire ? "Non, parce que la passerelle n'apportait strictement rien, c'est une verrue dans la rade, c'est poser une passerelle entre deux points A et B alors qu'il n'y a rien dans le Jardin anglais. Il y aurait toujours le conflit avec les piétons, ça n'apporte rien, alors que la campagne Masset, il n'y a pas que la maison, c'est surtout le parc. 21,5 millions de francs, c'est correct, ce sont les prix du marché. Il ne faut pas oublier que c'est un investissement, ce n'est pas une dépense, contrairement à ce que certaines personnes veulent faire croire. Au pire, si dans 5 ou 10 ans, cette maison est une verrue financière, on peut la vendre pour le prix de l'argent" A propos de la passerelle du Mont-Blanc, vous reconnaissez qu’il faut la création d’une vraie piste cyclable pour terminer le U lacustre. Comment faites vous? "C'est très facile. Il suffit de faire deux passages sous voie, un côté gare, on passe sous la route, en utilisant la même technologie pour construire les piliers de la passerelle. Le but, c'est de franchir le pont du Mont-Blanc pour rejoindre le pont des Bergues qui est sous-utilisé. Après, de l'autre côté, vous reprenez la route. Et juste avant le Grand Carrefour, devant l'Horloge fleurie, on passe dessous. Et on ressort devant l'autre piste cyclable, quai Gustave Ador".…
1 6 minutes avec Vincent Schaller, candidat UDC au conseil administratif de la Ville de Genève 6:31
6:31
Play Later
Play Later
Lists
Like
Liked
6:31Donner la priorité aux résidents de la Ville pour l'attribution des logements sociaux. C'est une des propositions de l'UDC Genève pour les élections municipales. Vincent Schaller, l'un de ses candidats, était invité de Béatrice Rul, à 7h30. Vous souhaitez une baisse du centime additionnel. C’est réjouissant pour notre porte monnaie, mais le budget de la Ville est déjà déficitaire, la dette se creuse et devrait atteindre 1,786 milliards. La Ville va présenter un plan de retour à l’équilibre, au Canton, avec neuf millions d'économies, par an… Bref, la Ville peut-elle vraiment se permettre de baisser les impôts? "Dans le budget de la ville, vous avez des activités qui sont indispensables. La voirie, les pompiers, bien que ce soit désormais intercommunal, on est d'accord. L'entretien des parcs. Et puis après, vous avez deux autres tiers du budget qui sont consacrés à des activités que l'on exerce mais pour des raisons politiques. Ce sont des choix politiques mais qui ne sont pas des activités obligatoires. Par exemple la culture, c'est un tiers. Je ne dis pas que la culture, ce n'est pas important mais il faut savoir que la culture, vous avez le financement par l'impôt, vous avez le financement par les mécènes et puis par la billetterie. Et à Genève, la part de l'impôt dans le financement de la culture est une part qui est considérable. C'est un record au niveau suisse". Vous souhaitez que les logements sociaux soient attribués en priorité aux personnes résidant déjà dans la commune. Une espèce de préférence communale. Ca sonne bien MCG, tout ça… "Non, ça ne sonne pas MCG. Il s'agit de recréer une solidarité nationale. Vous avez un parc de logements sociaux en ville de Genève que les contribuables ont constitué avec les années et qui devrait fonctionner de notre point de vue comme une assurance. C'est-à-dire que le jour où vous avez un coup dur, ce parc de logements sociaux doit pouvoir être disponible pour la famille résidente de longue date ou suisse qui a un coup dur. Il n'est pas normal que cette famille de la classe moyenne soit contrainte de s'exiler hors de la ville de Genève, même hors du canton, parce qu'aujourd'hui, les logements sociaux de la ville sont attribués en fonction de critères d'urgence. Si on s'en tient à ce critère d'urgence, sans ajouter une forme de priorité pour la population locale, la population locale se fait systématiquement couper la priorité par des personnes qui arrivent dans le canton, qui sont nécessairement dans des situations plus urgentes que les locaux. Il y a assez de logements en ville de Genève. C'est une question d'attribution. Ce que l'on veut c'est appliquer au niveau de la commune, de la ville de Genève, une priorité aux résidents de longue date et citoyens suisses, une règle qui doit s'appliquer d'office!"…
1 6 minutes avec Zoltán Horváth, membre du comité de l'association des Habitants du Quartier de la Concorde 6:50
6:50
Play Later
Play Later
Lists
Like
Liked
6:50Le collectif de soutien au Parc Masset passe à l’action. Il organise une journée de mobilisation, samedi, en deux temps. D’abord une déambulation, avec départ du 100 de l’avenue d’Aïre, pour montrer la densification du quartier. Puis un rassemblement, à midi, devant la villa Masset, que la Ville souhaite acheter à Zep pour 21,5 millions de francs, pour la transformer en parc public. Zoltán Horváth, membre du comité de l'association des Habitants du Quartier de la Concorde, était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac. Vous faites partie du collectif de soutien au parc Masset que souhaite créer la Ville, après le rachat de la Villa de Zep. Un achat contesté par référendum, dont la collecte de signatures est en cours. Et demain, vous organisez une déambulation, puis un rassemblement devant les grilles de la villa. Faire une telle mobilisation alors que le référendum n’a pas abouti, peut sembler surprenant. Vous êtes donc très inquiets… "Oui effectivement parce que notre but c'est de montrer que derrière ce projet il y a une mobilisation de la population, non seulement du quartier, mais aussi de tous. Si ce référendum aboutit, il y a un risque que le propriétaire Zep décide de vendre à quelqu'un d'autre. Il ne nous restera plus que les yeux pour pleurer, et qu'une fois de plus ce parc nous passera sous le nez comme c'est déjà arrivé en 89 et puis en 2007. Ce référendum c'est un leurre!" Il y a une vertu un peu pédagogique dans cette mobilisation puisque vous faites une déambulation pour montrer la densité du quartier. "Oui, nous voulons montrer à quel point ce parc est important et nécessaire pour ce quartier parce qu'il y a beaucoup beaucoup beaucoup de mobilisation, de densification. Il va y avoir deux fois plus d'habitants, en 15 ans le quartier va prendre 3000 habitants en plus. Les parcs que nous avons dans le quartier, sont tout petits et ne sont pas du tout adaptés à la population. Cette immense parcelle privée est en plein milieu d'un quartier très dense c'est une vraie barrière pour toutes les personnes qui veulent se promener, qui veulent aller au bord du Rhône".…
Des ateliers sur l'avenir du cycle étaient organisé, mercredi. 2'000 professeurs y ont participé et la magistrate, Anne Hiltpold a été chahutée. Michael Savoy, membre de la FAMCO, était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac. Vous avez participé, comme 2000 professeurs du Secondaire I, hier à cette grande journée de réflexion sur l’avenir du cycle voulue par Anne Hiltpold. Avec des ateliers organisés dans 7 cycles d’orientation et voulus par Anne Hiltpold. La conseillère d’Etat qui a été huée, lors de sa prise de parole au cycle de l’Aubépine… "Je n'étais pas présent dans la salle dans l'Aula du cycle de l'Aubépine, donc ce sera difficile pour moi de commenter ce qui s'est passé. C'est quand même dommage de retenir cela de cette journée d'échange entre collègues, des moments trop rares de discussion finalement sur nos pratiques enseignantes, sur la réalité du cycle d'orientation, et je pense que c'est plutôt ça qu'il faut retenir de cette journée. C'est aussi l'exaspération finalement d'une conseillère d'Etat qui s'adresse à un public en le traitant d'enfants, pire que des élèves, etc. Elle doit, pourtant, avoir l'habitude d'un parlement qui est aussi très houleux, on avait vu ça sur les débats par rapport à l'école, récemment ou par rapport à CO22, donc on avait vu des propos aussi assez outranciers. Là, je n'ai pas l'impression que c'est ce qui se soit déroulé dans l'aula du cycle de l'aubépine. Maintenant, encore une fois, je n'étais pas présent dans cette aula, donc ce sera difficile pour moi de m'exprimer là-dessus". Qu'est-il ressorti de cette journée? "On répète depuis des années qu'il faut ces moments d'échange, il faut ces moments de travail entre pairs au sein du corps enseignant. C'est ce qu'on dit quand on parle de l'augmentation du temps d'enseignement, c'est que ça aura un impact sur ce travail, sur ces discussions qui ont été réduites ces dernières années fortement. C'est aussi pour ça qu'on s'est inscrits dans la démarche, c'est aussi pour ça qu'il n'a pas été question très longtemps, voire pas du tout, de boycotter cette journée-là. Au contraire, on nous a donné la parole, on nous a dit que ce qui sortirait de ces ateliers serait utilisé pour la réforme, on croit en ça, on a en tout cas envie de croire la conseillère d'État et puis envie de voir derrière les choses avancer pour le cycle d'orientation. Parce que finalement c'est nous qui sommes au sein de ce cycle d'orientation, c'est nous qui allons profiter ou subir les décisions politiques qui viendront par rapport au cycle d'orientation. On espère qu'on profitera des améliorations plutôt que de subir certaines choses".…
1 6 minutes avec Joëlle Bertossa, candidate socialiste au Conseil municipal de la Ville de Genève 6:35
6:35
Play Later
Play Later
Lists
Like
Liked
6:35Le Parti socialiste mise sur un ticket féminin pour le conseil administratif de la Ville de Genève. L'une d'elle, Joëlle Bertossa, était invitée de Béatrice Rul, à 7h30. Vous estimez que grâce à la majorité de Gauche, Genève a poursuivi sa mue vers une société plus juste et résiliente. Est-ce vraiment une Genève plus juste quand la précarité augmente, quand il devient impossible de se loger ou quasiment impossible de faire garder son enfant en bas âge? Alors effectivement les Genevois sont résilients… "Disons que les efforts sont encore très grands. On a réussi heureusement à augmenter le nombre de places de crèche, on en a créé 100 durant la dernière législature. Ce n'est pas suffisant, je crois qu'il en manque à peu près 1000. Donc oui, nous allons continuer à agir de ce côté-là. Et puis c'est vrai que la précarité augmente. D'ailleurs, c'est un souci pour nous quotidiens de comment faire pour aider la population. C'est un beau constat, mais il laisse la majorité de gauche au conseil administratif. Oui, mais il faut savoir pourquoi. C'est aussi des politiques fédérales d'augmentation des primes maladie, d'augmentation des loyers que malheureusement nous ne contrôlons pas. On peut augmenter le nombre de logements que la Ville peut acquérir, avec la Fondation Genevoise pour le Logement Social. On peut aussi pousser les régies privées à faire des logements abordables. On peut transformer les locaux commerciaux vides depuis des années en logements également". Vous souhaitez que Genève soit une ville plus solidaire, inclusive et durable. Concrètement, très concrètement, Joël Berthosa, ça veut dire quoi? "Ma priorité, ce sont les familles! Je suis mère de famille, j'ai deux adolescentes à la maison. On peut, par exemple, faire plus de lieux pour la jeunesse. On peut aider les familles avec des chèques famille qui aident tout un chacun à inscrire ses enfants, que ce soit dans des cours de culture ou de sport. On fait déjà les allocations de rentrée qui aident passablement les familles. On peut continuer à rendre cette ville plus résiliente au niveau de l'aménagement. Il faudrait identifier dans chaque quartier, par exemple, une rue ou un lieu qu'on pourrait redonner aux habitants pour qu'ils se l'approprient. Moi, je suis très attachée à la collaboration qu'on peut avoir avec les habitants et les associations de quartier". Autre proposition, pour la culture et le sport: Viser un subventionnement équitable des différentes entités et institutions. Le budget du Grand Théâtre est de 63 millions de francs, par année. Les associations sportives peuvent donc se frotter les mains. Vous allez leur offrir 63 millions! "Non, alors déjà, il y a le canton, heureusement, qui rentre dans le financement du Grand Théâtre, qui va nous soulager un peu de cette énorme manne financière. En ville, il y a effectivement une disproportion des moyens entre culture et sport. Mais nous avons augmenté les budgets, pour le sport, sous l'impulsion de la magistrate Marie Barbey-Chappuis et on a un peu augmenté les subventions. Il n'y a pas vraiment de demande des associations sportives pour davantage d'argent. Étonnamment, parce que j'étais commissaire au sport, j'étais même présidente de la commission et je l'ai souvent demandé. Ce que les associations sportives demandent surtout, c'est du soutien pour leurs bénévoles. Parce qu'en fait, c'est devenu de plus en plus compliqué au niveau administratif de gérer une association sportive. Donc, ce n'est pas forcément au niveau des sous. Ils ont besoin d'espaces. On a voté 27 millions pour la rénovation des infrastructures sportives. C'est surtout ça dont les associations sportives ont besoin. Après, dans le domaine culturel, là, il y a des disparités. Moi, je me suis toujours engagée à essayer, et on l'a fait d'ailleurs ces dernières années, de remonter un peu ce qui est donné par exemple aux arts visuels, qui sont quand même le parent pauvre de la culture. On en p…
1 6 minutes avec Boris Calame, candidat des Vert'libéraux au conseil administratif de Genève 6:26
6:26
Play Later
Play Later
Lists
Like
Liked
6:26Les Vert'libéraux font alliance avec le Centre, à Genève, pour les élections municipales. Boris Calame, leur candidat au Conseil administratif, était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac. Vous faites ticket commun avec la candidate du Centre, la sortante, Marie Barbey Chappuis pour cette élection. Un choix où “la raison l’emporte sur le dogme, où les besoins de la population l’emportent sur les postures idéologiques”. C'est tellement bien dit, qu’on a presque envie d’y croire… "Je pense que c'est intéressant d'être entier dans les positions que l'on défend. On voit des positions très tranchées selon les majorités, que ce soit au Grand Conseil ou au Conseil municipal en ville de Genève. Le Centre et les Vert' libéraux, ensemble, on aimerait devenir un peu les arbitres de ces tendances tellement marquées qui, à notre sens, ne respectent pas ou n'accompagnent pas la majorité de la population. Une élection, c'est relativement peu de monde qui participe à l'élection. Et là, une chose extraordinaire, c'est qu'on a les étrangers qui peuvent participer, donc à peu près 40% de la population qui peut participer à cette élection. On aimerait bien que les choses soient un peu plus harmonieuses pour le plus grand nombre". 10 domaines clés ont été retenus: dont la politique familiale avec cette volonté d’alléger le budget des familles. Vous nous promettez donc une baisse d’impôts? "La baisse d'impôts, on l'a eue. Elle a été votée au niveau cantonal. On va voir comment ça se passe. On va voir aussi comment vit le budget de la ville de Genève. Par contre, en ville de Genève, il y a certainement des économies qu'on pourrait faire. Et quand on aura fait ce bilan des économies à réaliser, et non pas des dépenses inconsidérées, des postes à fusion, etc., voire des subventions pour tout le monde, on pourra faire un bilan et voir où c'est qu'on se situe". La famille, la parentalité est votre priorité personnelle numéro un. Vous souhaitez que tout parent trouve “une solution d’accueil flexible et de qualité”. Cela veut donc dire davantage de places de crèches, en Ville de Genève. Des crèches privées, publiques, quel financement? "On a une initiative cantonale qui est en cours de lancement pour gérer cette problématique entre le canton et les communes. Ce qu'il y a aujourd'hui, c'est qu'on a une inégalité de traitement entre les parents, qui est quelque chose d'effarant. C'est-à-dire que certains parents peuvent, pour leur progéniture, mettre leurs enfants à plein temps, et d'autres ne peuvent même pas avoir un 20%. Et on voit dans la tendance, c'est qu'un parent qui travaille à plein temps, il aura la priorité sur un parent qui ne travaille pas, alors que ce même parent qui ne travaille pas cherche à travailler, mais il ne peut pas à cause de ses enfants. Je pense que l'équité, l'égalité de traitement vers tous les administrés est indispensable dans une municipalité". Vous faites aussi la promotion de l’écologie de l’envie. Comprenons le contraire de l’écologie punitive des Verts? "C'est une volonté d'écologie. Et on ne va pas faire contre la population. On n'y arrivera jamais. On doit faire avec la population. Il faut avoir une majorité pour faire passer un projet. Et si on prend des exemples récents, où peut-être l'accompagnement n'a pas été bon, alors est-ce que le projet était bon ou pas ? Je pense à la passerelle du Mont-Blanc, par exemple. On ne peut pas arriver avec un projet comme ça sans l'avoir préparé en présentation à la population, accompagner ce projet, l'expliciter, qu'il soit bien ou mauvais. Le résultat est dans les urnes, quel qu'il soit".…
1 6 minutes avec Cindy Reymond, secrétaire générale de l’association Euro féminin 2025 à Genève 6:29
6:29
Play Later
Play Later
Lists
Like
Liked
6:29L'Euro féminin de football débute dans six mois, en Suisse. Avec cinq matchs organisés au Stade de Genève. La Secrétaire générale de l'association Euro féminin 2025, à Genève, Cindy Reymond, était invitée de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac. Dans six mois débute l’Euro de football féminin. Avec un premier match à Genève, le 4 juillet, entre le Danemark et la Suède. Tout est prêt? "Absolument, on est dans les starting blocks mais déjà avant ce début d'année puisqu'on a eu un tirage au sort le 16 décembre dernier qui nous a mis vraiment dans une ambiance complètement différente. Maintenant on passe vraiment dans le concret, on sait quelle équipe on va accueillir à Genève donc on a vraiment maintenant une idée très précise de ce qui va se passer et puis on se prépare activement à accueillir ces équipes internationales à Genève. On se réjouit de les avoir chez nous". L'UEFA souhaite battre le nombre de spectateurs à un Euro féminin. "En Suisse, on attend quelques 720 000 personnes donc 31 matchs répartis dans 8 villes hôtes dont Genève. On a vraiment des défis à réaliser, faire mieux que 2022 en Angleterre. C'est aussi une opportunité pour mettre au centre de l'attention le sport, le football pratiqué par les femmes bien entendu mais aussi le sport féminin en général. Il y a quelques 200 000 billets qui ont été vendus, ça c'était des chiffres qui étaient encore sur la fin de l'année 2024, donc on va avoir les prochains chiffres maintenant sur 2025. On va rentrer dans une deuxième phase de vente mais pour l'heure il y a un intérêt très fort du côté de la Suisse pour ces matchs là, les billets aussi à Genève se vendent bien, on a encore du travail à faire et on va promouvoir sur ces prochains mois la manifestation aussi à l'étranger grâce à des partenariats avec Suisse Tourisme". Comment vont s'articuler ces six prochains mois, notamment à Genève pour faire connaître à chacun cet événement ? "L'association qui coordonne cette manifestation à Genève, fondée par le canton et la ville, va mettre en place une campagne de communication à une plus à large échelle sur la deuxième moitié, sur la première partie de ces prochains mois de 2025. Jusqu'à Noël on a vraiment axé notre communication sur la proximité, on a été présents sur toutes les manifestations populaires genevoises, au contact de la population, pour faire de l'information, pour faire de la sensibilisation aussi sur le sport et puis la pratique sportive chez les femmes"…
1 6 minutes avec Jérôme Berthoud, responsable du bureau de prévention des violences de l’Association Genevoise des Sports 6:20
6:20
Play Later
Play Later
Lists
Like
Liked
6:20Le Conseil des Etats vient d’adopter, une motion pour que les points de vente aient accès à la base de données répertoriant les hooligans, HOOGAN, et ainsi interdire l’accès au stade aux hooligans. Jérôme Berthoud, responsable du bureau de prévention des violences de l’Association Genevoise des Sports, était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac. Le Conseil d'État vient d'adopter une motion pour que les points de vente aient accès à la base de données Hogan qui répertorie les hooligans et ainsi leur interdire l'accès aux stades. Est-ce que c'est une vraie avancée dans la lutte contre la violence dans le sport ? "Evidemment qu'en tant que responsable du Bureau de la Prévention des violences, moi je ne peux que saluer toutes les formes d'efforts qui sont mis en place pour quelque part lutter contre les formes de violences. Je trouve évidemment inacceptable qu'aujourd'hui on doive encore se poser la question: est-ce que c'est vraiment adapté de se rendre à un stade avec un enfant de peur qu'il ne lui arrive quelque chose de manière générale. Ce qu'on remarque depuis 25 ans en terme de politique sécuritaire c'est qu'on va toujours un tout petit peu plus loin à ce niveau-là, dans la sécurisation. Je ne dirais pas que le sport est de plus en plus violent, c'est toujours très très difficile de faire des comparaisons comme ça diachroniques, mais dans tous les cas on remarque qu'on n'a pas réussi à résoudre le problème, ça c'est sûr, et on va toujours un tout petit peu plus loin dans cette logique sécuritaire. Aujourd'hui on ne fait qu'un pas supplémentaire dans une forme de logique qui s'appelle la capacitation sélective. Ça signifie qu'on va identifier en amont des personnes qui à un moment donné dans un passé récent ont commis un acte répréhensible et on va les interdire d'accès en espérant du coup qu'il n'y ait pas de violence". Les directeurs cantonaux de justice et police souhaitent, eux, la mise en place de billets nominatifs. L’ASF farouchement opposée… "Ça peut être une mesure, par contre ça pose de vrais challenges, de vraies questions de contrôle parce que vous pouvez vendre tous les billets nominatifs du monde, si vous ne contrôlez pas l'accès à un stade, finalement ça ne servira à rien, parce qu'on peut très bien rentrer avec un billet de quelqu'un d'autre. Il faut mettre les mesures et ça c'est très compliqué. Si vous avez 20 000 personnes qui arrivent dans les 20 minutes qui précèdent l'entrée, le début d'un match, à un moment donné, si vous devez contrôler chaque personne, vous allez créer d'autres problématiques, les gens ne vont pas arriver à l'entrée au stade au début du match, ça peut créer aussi d'autres problèmes d'émeute au niveau des entrées, donc il y a une question pragmatique comment concrètement ça va être mis en place, et ça je ne l'ai encore pas véritablement entendu"…
1 6 minutes avec Cenni Najy, responsable politique au Centre patronal 6:22
6:22
Play Later
Play Later
Lists
Like
Liked
6:22Le Conseil fédéral doit se prononcer, vendredi, sur le résultat des négociations avec Bruxelles. Ce devrait être la fin de 15 ans de négociations. Cenni Najy, responsable politique du Centre patronal, était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac. Les négociations avec l’Union européenne avancent enfin. Le Conseil fédéral pourrait annoncer un accord, vendredi. Enfin! "Oui, c'est plutôt une bonne nouvelle parce que ça fait quand même 15 ans qu'on discute avec l'Union européenne. Donc on se réjouit tous d'enfin pouvoir analyser les résultats. On parle d'un accord, mais en fait c'est un paquet, le paquet bilatéral III. Il y avait les bilatérales I, bilatérale II, maintenant on arrive aux bilatérales III. Ce paquet va être dans le fond assez complexe parce qu'il y aura à la fois des nouveaux accords bilatéraux, l'accord sur l'accès au marché européen de l'électricité, la protection des consommateurs, la santé publique, etc. Donc d'un côté, des nouveaux accords d'accès au marché extrêmement intéressants qu'il faudra analyser un à un. Et puis une révision d'accords existants". Le Conseil fédéral semble pencher pour une solution originale: le découpage en quatre de l’accord: oui ou non à la voie bilatérale, puis ensuite sur l’ajout de l’électricité, la santé et la sécurité alimentaire, à cet accord. Quel est l’intérêt pour le Conseil fédéral… "Historiquement, l'approche par paquet était plutôt imposée par l'Union européenne. C'est-à-dire que l'Union européenne disait à la Suisse: très bien, vous êtes demandeurs, vous voulez accéder au marché intérieur, mais il ne peut pas y avoir, comme ils appelaient ça, de « pick and choose », de traitement à la carte. Soit vous prenez tout, soit vous prenez rien. Donc c'est pour ça que les bilatérales I étaient déjà un paquet qui avait même une guillotine entre tous les accords, c'est-à-dire que la Suisse ne pouvait pas en accepter un et en refuser un autre. Donc historiquement, l'approche par paquet a plutôt été imposée par l'Union Européenne. Là, on pouvait s'attendre à ce que finalement il y ait la même logique, et il semble, d'après les dernières informations qu'on a, que la Suisse pourrait séparer un certain nombre de ces accords, mais sans qu'on sache, à l'heure actuelle, exactement s'il n'y aura pas quand même un lien juridique entre certains d'entre eux".…
1 6 minutes avec Thierry Apothéloz, conseiller d'Etat chargé de la cohésion sociale 5:51
5:51
Play Later
Play Later
Lists
Like
Liked
5:51La Loi sur l'Aide sociale et la Lutte contre la précarité entre en vigueur, au 1er janvier. Le conseiller d'Etat chargé de la cohésion sociale, Thierry Apothéloz était invité de Béatrice Rul, à 7h30. +76% d’augmentation des dossiers à l’aide sociale en dix ans. L’ancienne loi, la LIASI est clairement à bout de souffle… "Oui, je pense qu'on doit faire le constat que les paradigmes d'il y a quinze ans en arrière ne sont pas les mêmes que ceux d'aujourd'hui, qu'il faut les réviser, donc on a travaillé avec l'Hospice général, avec une commission externe pour nous permettre de nous enrichir dans nos analyses. Cette proposition a été votée par le Parlement en juin 2023. Très concrètement ça veut dire qu'on va diminuer la charge administrative, revoir les procédures, les limiter à ce dont on a vraiment besoin. Aujourd'hui les gens doivent venir tous les jours, tous les mois avec des papiers, des décomptes, etc. Je pense qu'on doit revoir aussi le rapport avec les bénéficiaires de l'Hospice général. Les travailleurs sociaux pourront ainsi se centrer sur la façon dont les personnes peuvent par exemple se réinsérer, soit socialement, soit professionnellement" Ça veut dire qu'il y aura un petit peu moins de contrôle ? "Non, ça veut dire qu'il y a un peu plus de confiance et il y a un peu plus de travail sur la responsabilité et l'autonomie des personnes concernées. Une franchise sur le revenu sera mis en place: quand vous reprenez une activité professionnelle, vous avez le droit aujourd'hui de ne garder à peu près rien de ce que vous gagnez et ça ce n'est pas très motivant quand vous reprenez par exemple une activité à 40%. Avec la nouvelle loi à partir du 1er janvier, chaque franc gagné peut être évidemment gardé, c'est ça l'objectif. On en a un peu plus effectivement pour l'aide sociale lorsqu'on est en activité professionnelle et c'est aussi la même chose pour les apprentis donc on part du postulat que c'est plus stimulant d'aller chercher un emploi, d'augmenter son taux d'activité parce qu'on peut gagner un peu plus à la fin du mois"…
1 6 minutes avec François Baertschi, commissaire aux finances 6:24
6:24
Play Later
Play Later
Lists
Like
Liked
6:24Le torchon brûle entre la Cour des Comptes et le Conseil d’Etat. En cause, l’audit remis, lundi, par l’organe indépendant sur les mandats externes attribués au sein de l’administration cantonale. Avec des incohérences, des irrégularités ou encore un manque de contrôle pointés du doigt. Rapport biaisé, au vocabulaire tendancieux, répond le Conseil d’Etat qui a refusé sept des dix recommandations formulées par la Cour. Le commissaire aux finances, François Baertschi, était invité de Béatrice Rul, à 7h30,sur Radio Lac. C’est votre commission qui a demandé la Cour des Comptes, un audit sur l’attribution des mandats externes, par le Conseil d’Etat. Un rapport sévère, que n’a pas apprécié le Conseil d’Etat. Votre avis sur ce rapport? "Nous sommes ravis de cette étude sans concession de la Cour des Comptes. C'est vrai qu'elle a déplu à certaines personnes, en particulier au Conseil d'État et ça démontre sans doute qu'ils ont fait du bon travail. Je pense que c'est une remise en question qui est tout à fait excellente parce qu'il y a malgré tout des problèmes systémiques dans les attributions de mandats, ce sont des montants conséquents, on doit le faire avec beaucoup plus de précision et j'ose espérer, malgré le coup de colère du Conseil d'État, que le Conseil d'État se ressaisira et reprendra l'affaire en main" La Cour des Comptes explique dans son rapport: qu'il "n'est pas toujours possible de comprendre a posteriori les raisons qui poussent l'Etat à faire recours à un tiers et en quoi la dépense sert à atteindre des objectifs de politiques publiques". Ca veut dire que c’est au petit bonheur la chance? "C'est quelque chose qui date d'ailleurs de plusieurs décennies: il y a un peu une gestion aléatoire de l'État, c'est vrai qu'on fait de manière un peu imprécise, on se dit tiens on a besoin de faire telle tâche, tel travail, allez on va demander à tel prestataire externe de nous le fournir et il y a un manque un peu de précision, c'est un manque de culture politique je pense. On doit véritablement être de plus en plus sérieux dans l'attribution des mandats externes et non pas le faire un peu à la "one again", ce qui se fait malheureusement parfois". Il faut donc des règles plus claires pour éviter, toute dérive. Que va faire le Grand Conseil? "Il y a la commission de contrôle de gestion qui devrait reprendre la question. Il peut y avoir des demandes qui soient faites au Conseil d'État, le Conseil d'État va peut-être faire des propositions. Les responsables de la Cour des comptes qui ont fait l'audit étaient un peu désabusés. Ils disaient: nous nous retrouvons un peu comme un chevalier sans épée. Ils demandent au Grand Conseil d'intervenir, la balle est dans le camp des députés maintenant. Nous pouvons intervenir et je pense que le signal est très clair"…
1 6 minutes avec Martial Saddier, président du Conseil départemental de la Haute-Savoie 7:32
7:32
Play Later
Play Later
Lists
Like
Liked
7:321 6 minutes avec Delphine Klopfenstein Broggini, présidente de Pro Vélo Suisse 6:55
6:55
Play Later
Play Later
Lists
Like
Liked
6:55Delphine Klopfenstein Broggini vient d'être élie présidente de Pro Vélo Suisse. Elle était invitée de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio La Le canton a dévoilé sa stratégie ferroviaire 2050 avec donc ce métro, qui doit rejoindre le pied du Jura, au Salève, en passant sous la rade. Votre avis? "Je me réjouis beaucoup! C'est vraiment une solution qui sera efficace puis surtout une solution qui sera assez rapide. Parce que si on passe à travers la proposition, du fonds FORTA, ça donne une certaine souplesse, une certaine capacité au canton à aller plus vite pour enfin le doter finalement d'une liaison Salève-Jura qui manque cruellement aujourd'hui. L'idée même de le faire en souterrain, en métro, c'est extrêmement intéressant aussi en termes de surface occupée. C'est important de doter Genève d'un réseau de transport public qui soit efficace. Le rail, de manière générale, est efficace. Il faut qu'on parle d'une seule voix à Genève pour se faire entendre à Berne. Et moi, cette voix, je vais la porter. Je vais la porter largement aussi pour relier Genève à Lausanne avec une nouvelle voie parce qu'aujourd'hui, c'est un vrai problème, la capacité qui n'est pas suffisante pour transporter assez de monde. Il faut, aussi, une l'ouverture sur l'ouest avec une liaison entre Genève et Lyon qui aujourd'hui périclite avec un train Corail qui est beaucoup trop petit, avec des cadences beaucoup trop faibles".…
Welcome to Player FM!
Player FM is scanning the web for high-quality podcasts for you to enjoy right now. It's the best podcast app and works on Android, iPhone, and the web. Signup to sync subscriptions across devices.